Recherche par mots clés
Recherche par mots clés
L’Agence Nationale de sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) a publié un point d’étape sur les investigations concernant les dispositifs médicaux pour le traitement du prolapsus et de l’incontinence urinaire.
L’Agence va par ailleurs réunir le 22 janvier 2019 les patients et les professionnels de santé (urologues, gynécologues, médecins généralistes, infirmiers, sages-femmes, kinésithérapeutes …) en vue d’une réflexion partagée sur l’intérêt des implants de renfort pour le traitement du prolapsus génital (POP) et/ou l’incontinence urinaire féminine (IUF) et les risques liés à leur utilisation.
Dans le cadre de la surveillance de ces dispositifs, l’ANSM :
– rappelle aux patients et aux professionnels de santé de déclarer les éventuels effets indésirables sur le portail : signalement-sante.gouv.fr
– poursuit sa campagne d’inspection et peut prendre dans ce cadre des décisions ponctuelles de police sanitaire. Une décision de police sanitaire vient ainsi d’être prise à l’encontre de la société CL Medical en raison d’une non-conformité réglementaire.